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« Ne vous perdez pas sur les réseaux sociaux. Focus sur les ventes ! »

Les conseils aux start-ups de Yasmin, entrepreneuse des réseaux sociaux

Yasmin Vantuykom (38 ans) est mère de deux petites filles. Elle est leur numéro un. Mais Yasmin est aussi la ‘mère fondatrice’ de sa propre entreprise. Elle a fondé Efluenz, une agence de marketing d’influence, qu’elle a revendue en 2024. Aujourd’hui, elle se consacre à son nouveau projet ‘Quyet’, qui aborde la gestion des stimuli numériques. Elle a également écrit un livre, ‘Workaholics’, et anime le podcast ‘Scroll-A-Holics’. 

Posté le 23 septembre 2025

Elle sait de quoi elle parle

Et quand elle dit qu’il ne faut pas se perdre... elle sait de quoi elle parle. Trouvez l’inspiration dans les enseignements et conseils d’une starter expérimentée, active depuis un certain temps dans le milieu. 

Suivez-vous une évolution du monde des entrepreneurs de plus près ?

« Il y a quelques années, l’entrepreneuriat n’était pas aussi répandu qu’aujourd’hui. J’ai commencé ma carrière chez Deloitte. C’est à ce moment-là que j’ai décidé d’abandonner de beaux petits avantages pour me lancer dans l’entrepreneuriat. À l’époque, une telle évolution était un peu bizarre, mais aujourd’hui, l’entrepreneuriat est branché et trendy. Une tendance marquante pour moi, c’est de voir beaucoup de monde se lancer comme entrepreneur dès la fin des études. Mais ça fait qu’on sous-estime parfois le stress que cela implique. » 

S’agit-il néanmoins d’une évolution positive ? Oui, selon Yasmin.  

« L’aspect positif est en tout cas qu’il y a de plus en plus de discussions honnêtes sur le sujet et sur les implications de l’entrepreneuriat, à commencer par soi-même. Cette ouverture est nécessaire. Il faut se rendre compte qu’il y a un côté solitaire dans l’entrepreneuriat, même après avoir recruté quelques personnes. Il faut savoir qu’il y a une responsabilité à porter, à la fois envers sa propre famille et envers ses collaborateurs. L’entrepreneuriat a aussi un impact sur la société, et il faut idéalement en être conscient. 



Quelle importance ont les réseaux sociaux pour une start-up ?

« Là, on arrive sur mon terrain (rires) ! Les réseaux ont un côté assez idéal, en fait, car ils sont abordables et ne demandent pas de budget, ni trop de temps. Ce que vous postez ne doit pas être parfait non plus. Les gens sont curieux, profitez-en. Ils veulent voir ce qui se passe en coulisses, ce que vous faites au quotidien. Il faut savoir l’utiliser, et faire en sorte que le public puisse se reconnaître en vous. 

Mais il faut aussi faire attention à ne pas s’y perdre. Ça n’est pas en passant la journée sur les réseaux ou en voulant en dire trop qu’on y arrive. Il faut se concentrer sur les ventes : les ventes avant tout ! Au final, c’est ça qui aide votre entreprise à avancer et vous permet de rester actif dans votre domaine demain, et après. » 

Sur quoi devrait-on être plus transparents, pour les entrepreneurs débutants ? 

« Sur le fait que tout n’est pas rose. Tout comme ce que les gens et les entreprises partagent sur les réseaux n’est pas non plus 100 % véridique. On publie souvent le beau et le photogénique, et pas les moments difficiles. Il est en tout cas bon de savoir que même les entrepreneurs qui réussissent le mieux ont été confrontés à plus de ‘non’ que de ‘oui’ . Il faut le savoir, et pouvoir le supporter. »

  Quelle est votre ‘North Star’ à vous ?  

« Je suis ce qui me donne de l’énergie. Et si cela ne me convient plus, je fais de petites adaptations, ou des ajustements, comme on dit. » 

Quel est le meilleur conseil pour un jeune entrepreneur ?

« Continuez à croire qu’il y a une solution à tout. Mais il y a toujours une étape à franchir. Parfois, il faut savoir sortir des réflexions habituelles pour y parvenir. Dans mon cas, j’ai dû me rendre compte que même dans une crise, il y a toujours des gens qui doivent communiquer. Le marketing d’influence ne se limite pas aux festivals et à l’alcool. À ce moment, j’ai commencé à me tourner vers le gouvernement, les assurances... J’ai commencé à chercher de nouvelles opportunités. Il y aura toujours des portes qui s’ouvrent, auxquelles on n’avait pas forcément pensé. » 

La leçon de Yasmin en bref 

  N’attendez pas une éternité pour commencer (just do it). 

  Apprenez à encaisser un ‘non’ (il y en aura beaucoup). 

  Tirez les enseignements de chaque expérience (positive ou négative). 

  N’oubliez pas que c’est votre parcours à vous (et pas à quelqu’un d’autre). 

  Toutes les opinions n’ont pas la même valeur. (🤫"Quyet")

  Limitez le temps passé sur les réseaux sociaux.  (soyez pas un 'Scroll-A-Holic’)

  Posez un regard innovant sur votre marché ! (👀)

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Yasmin Vantuykom - Quyet


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  Yasmin Vantuykom est une entrepreneuse belge et la fondatrice d’Efluenz, l’agence de marketing d’influence qu’elle a vendue au groupe de presse Rossel en 2024. Elle se consacre aujourd’hui à son nouveau projet ‘Quyet’, dont l’objectif est de sensibiliser le public aux stimuli numériques. Elle est par ailleurs l’auteure du livre ‘Workaholics’ et l’animatrice du podcast ‘Scroll-A-Holics’. 

Yasmin Vantuykom bio

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